Beauté Fatale
La Compagnie des Scies Sauteuses - Ana Maria Haddad Zavadinack
26 mar > 27 mar
samedi 26 mars 2022
11h et 17h30
dimanche 27 mars 2022
11h et 17h
salle de répétition
théâtre olympia
durée 1h30
C'est quoi ?
Inspirée par l’essai homonyme de Mona Chollet, Beauté Fatale raconte avec humour et poésie les injonctions à la beauté faites aux femmes. Quelle est la limite entre se faire belle parce que c'est plaisant, et se faire belle parce que ne pas l'être est une souffrance ? Cinq comédiennes se dévoilent peu à peu devant leur miroir, dans leur prétendue intimité. Performances, textes, chansons lèvent le voile sur « le mystère » de la beauté féminine et révèlent une réalité bien peu romantique... pour notre plus grand plaisir. La parole des femmes se libère et ouvre la réflexion sur le poids de leur conditionnement de femmes-objets.
C'est qui ?
À sa sortie de l’ERACM en 2019, Ana Maria Haddad Zavadinack propose aux comédiennes de sa promotion de former La Compagnie des Scies Sauteuses pour porter sa première mise en scène, Beauté Fatale. Depuis, de nouvelles comédiennes, techniciennes, administratrices, intègrent peu à peu la compagnie, exclusivement féminine, et prolongent les réflexions notamment sur le statut des femmes dans la société.
un projet soutenu dans le cadre d’un partenariat ERACM/ACTORAL d’accompagnement sur l’émergence artistique
avec le soutien du Fonds d’Insertion pour Jeunes Artistes Dramatiques Drac et Région SUD
avec le soutien du Fonds d'Insertion pour Jeunes Comédiens de l'ESAD - PSPBB.
cette création a bénéficié du soutien de l’IDEX UCAJedi
mise en scène Ana Maria Haddad Zavadinack
interprétation Léa Douziech, Juliette Evenard, Chloé Lasne, Tamara Lipszyc et Joséphine Palmieri
co-créateur lumière Tom Desnos
co-créateur lumière et régie Lola Delelo
scénographie Alice Girardet
chargée de diffusion Maud Madlyn
une écriture collective auto-fictionnelle, inspirée de Beauté Fatale de Mona Chollet avec des textes de Clarice Lispector (traduction d’Ana Maria Haddad Zavadinack) et de Vinícius de Moraes (traduction de Jean-Georges Rueff)